« Le
temps des lamentations est un temps déjà perdu. L'enjeu n'est plus
de savoir si le basculement vers l'écran se produira, mais plutôt de soutenir la production des contenus imprimés pour
éviter leur marginalisation. (…). Plutôt que de regretter une
époque révolue, il convient de se demander quels partis peuvent
tirer les créateurs, les auteurs, les artistes, les journalistes et
le public de cette confrontation aux nouveaux outils de transmission
du savoir qui font circuler en un clic images et idées, ubique et
semper. »
Et à ce propos, un petit lien vers un projet bien enthousiasmant:
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